A view from the booth at Barry Can

Deux concerts époustouflants de Barry Can’t Swim à Los Angeles, Bonnaroo ensuite

Une vue depuis la cabine lors de la soirée Shrine de Barry Can’t Swim le vendredi soir (Photo : Digital Music News)

Barry Can’t Swim enflamme The Shrine pour deux soirées à Los Angeles ce week-end – avec son groupe au complet.

Le DJ écossais brûlant Barry Can’t Swim a rempli The Shrine pour deux soirées à Los Angeles ce week-end – avec son groupe complet. Le phénomène de Ninja Tune, Barry Can’t Swim, a clôturé sa mini-tournée sur la côte ouest ce week-end avec une paire de concerts à guichets fermés au Shrine – avec une place à Bonnaroo ensuite. Le rapide ascendant écossais se fait rapidement des amis et influence les gens, avec le premier concert de Los Angeles complet et étendu à une deuxième nuit.

Une performance captivante et énergique

Et pour ceux qui aiment être divertis, Barry Can’t Swim – alias Joshua Spence Mainnie – a littéralement tout déchiré. Pour commencer, The Shrine est un espace gigantesque, bien que le son était parfaitement équilibré et complet, avec un spectacle laser et lumineux sans interruption pour accompagner la musique.

Ceux qui organisent des sets de DJ connaissent intimement la difficulté de réussir une chorégraphie appropriée, mais l’équipe de Barry l’a brillamment réussi. Le résultat : les adeptes de Barry Can’t Swim dansaient à en perdre haleine, Mainnie enchaînant habilement les morceaux dans un set bien ficelé.

Un artiste qui ne cesse de conquérir de nouveaux fans

Barry Can’t Swim a définitivement ses fans inconditionnels, et cette histoire est susceptible de prendre de l’ampleur. Une partie de l’attrait pourrait être les différences du DJ par rapport à la configuration solo de DJ typique. Le spectacle visuel de Barry Can’t Swim était génial, bien que la véritable attraction aille au-delà du clinquant en arrière-plan.

En effet, ce ‘DJ’ est en réalité un groupe, avec un vrai batteur, des claviers, et même une section de cordes complète déployée. Cela correspond à l’orientation de Mainnie, qui est plus musicien instrumental que DJ et certainement pas limité à un sous-genre de danse particulier. Au lieu de cela, la musique de Barry Can’t Swim traverse le jazz, la house, l’afrobeat, et même le shoegazer, avec des extraits d’enregistrements aléatoires parsemés çà et là.

Une prestation solide qui ravit les foules

Cela dit, Barry Can’t Swim est bel et bien un DJ sur scène, et ses performances sont solidement des événements dansants. Néanmoins, il est surprenant de voir à quel point les instruments live modifient le motif musical, notamment la batterie énergique. Cela vous fait réaliser qu’après des décennies depuis l’avènement et l’acceptation généralisée de la boîte à rythmes, il reste quelque chose de spécial.

Les super fans ont également eu un bel aperçu de quelques morceaux à venir lors des concerts de ce week-end. Cela inclut quelques pistes du prochain album, Loner, qui sortira le 11 juillet sur le label Ninja Tune susmentionné.

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