Muer le Stade de France en un immense dancefloor pour les Jeux Olympiques
Thomas Jolly a relevé le défi de transformer le Stade de France en un gigantesque dancefloor pour les Jeux olympiques. Le directeur artistique de l’événement a choisi de continuer sur la lancée musicale de la cérémonie de clôture précédente, mettant en avant la French Touch avec des artistes emblématiques tels que Phoenix, Air et Kavinsky.
Une cérémonie de clôture électrisante sur le thème « Paris est une fête »
Thomas Jolly et Romain Pissenem, directeur musical de David Guetta, ont orchestré une cérémonie de clôture époustouflante autour du thème « Paris est une fête ». Avec la participation de nombreux artistes et DJ français, l’objectif était d’électriser le Stade de France devant un public de 64 000 spectateurs et 5 800 para-athlètes.
Un casting artistique diversifié sur scène
La soirée a vu défiler 24 artistes, dont Cut Killer, Irène Drésel, Jean-Michel Jarre, Breakbot, Etienne de Crécy, Cassius, Kavinsky, Kiddy Smile, Miss Kittin, et bien d’autres. Les artistes se sont succédé derrière les platines, offrant une performance éclectique et captivante pour les fans de musique électro.
Une immersion dans les différentes sensibilités électro
Les DJ ont enchaîné les sets dans quatre séquences thématiques : « French Touch », « High Energy », « Forever Rave » et « Radio Star ». Chaque artiste a apporté sa propre touche musicale, créant un véritable voyage sonore où tous étaient connectés, selon Victor Le Masne.
La soirée s’est conclue avec des performances de Martin Solveig et Jean-Michel Jarre, ainsi qu’un dernier morceau emblématique des Daft Punk. Les Jeux olympiques à Paris ont pris fin dans une ambiance électrique et mémorable.
