Eartheater, rêve de la une d'un magazine obscène en 2024.

Eartheater, rêve de la une d’un magazine obscène en 2024.

La musique d’Eartheater est connue pour sa force évocatrice et son côté sensuel. Alexandra Drewchin, l’artiste derrière cet alias, se confie sur ses expériences érotiques et ses inspirations.

Eartheater explique que pour elle, être sexy signifie sortir de sa zone de confort et ne pas avoir peur de repousser les limites. Elle voit le sexy comme une forme de performance, où l’interprétation joue un rôle clé. Elle se rappelle de ses premières images érotiques, notamment liées à son adolescence passée dans un couvent.

L’artiste cite des personnalités comme Lolahol et Peter Steele comme des exemples d’artistes sexy. Elle évoque aussi ses premières icônes érotiques, dont son premier petit ami batteur. Eartheater discute de ce qui l’excite le plus, mentionnant que les mots ont un pouvoir particulièrement fort sur elle.

Elle parle également de la musique et des sons qui la séduisent, notamment le dubstep et le metal. Eartheater mentionne son propre morceau « Crushing » comme une musique sexy. Elle évoque ensuite la voix d’Isabella Lovestory comme un instrument particulièrement sexy.

Eartheater partage ses lieux sexy préférés, mentionnant des salles de concert et des clubs. Elle parle également de vêtements et de boissons qui respirent le sexe, avant de discuter de ses scènes de sexe préférées dans les films. Enfin, elle conclut en évoquant le secret du bon sexe comme quelque chose de magique et inexplicable.

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