Le festival de la Route du Rock à Saint-Malo a été le théâtre de quatre soirées animées par des artistes tels que Blonde Redhead, The Kills, Étienne Daho et Bar Italia, du 14 au 17 août. Malgré la pluie, les festivaliers ont bravé les intempéries pour profiter de concerts inoubliables.
Kae Tempest, une performance poétique
Le concert de Kae Tempest, mêlant spoken-word et musique, a ouvert le festival avec une performance captivante et tendre. Accompagné·e de sa claviériste, iel a envoûté le public avec des textes poétiques et des mélodies envoûtantes, notamment avec la chanson « People’s Faces ». Un moment marqué par un hommage à la communauté LGBTQIA+ et aux personnes transgenres.
Slowdive, une vague sensorielle
Le groupe emblématique Slowdive a enchanté le public avec un concert mettant en lumière leur style shoegaze distinctif. Leur performance a été un voyage à travers leur discographie, offrant des nappes atmosphériques et des mélodies envoûtantes, jusqu’à une reprise émouvante de « Golden Hair » de Syd Barrett.
The Kills, une modernité étonnante
Le duo The Kills a prouvé sa modernité et sa maîtrise sur scène, offrant une prestation électrique et radicale qui a conquis le public. Leur blues minimaliste et leur son distinctif ont marqué les esprits, réaffirmant l’influence de leur musique futuriste.
Bar Italia, une performance sous la pluie
Malgré la pluie battante, Bar Italia a offert un concert envoûtant, transportant le public dans une atmosphère mélancolique et dansante. Leur musique a su captiver les spectateurs, même sous une météo capricieuse.
Blonde Redhead, un retour en force
Après une décennie d’absence, Blonde Redhead a signé son retour avec élégance et puissance sur scène. Leur performance au Fort de Saint-Père a été marquée par une ambiance envoûtante et une scénographie étincelante, offrant une expérience musicale inoubliable.
Étienne Daho, l’icône de la pop française
Étienne Daho a charmé le public avec une performance élégante et envoûtante, revisitant ses classiques et ses titres récents. Son concert a été le point culminant du festival, rassemblant toutes les générations dans une transe musicale inoubliable.
Metz, un post-punk incandescent
Le groupe canadien Metz a électrisé le public avec son post-punk intransigeant, offrant une performance énergique et intense. Leur musique a su galvaniser les festivaliers, rappelant l’âge d’or du grunge des années passées.
Fat Dog, une énergie chaotique
Le groupe Fat Dog a livré un concert mémorable et chaotique, mêlant rock massif et saillies électroniques. Leur performance a électrisé les foules, laissant une impression indélébile sur les festivaliers déjà imprégnés d’une journée pluvieuse.
Air, un voyage dans l’espace
Air a célébré les 25 ans de leur album culte « Moon Safari » avec une performance magistrale, plongeant le public dans une atmosphère onirique et intemporelle. Leur musique a transporté les spectateurs dans un voyage musical inoubliable, couronné par leur morceau emblématique « Playground Love ».
Protomartyr, une poésie féroce
Protomartyr a clôturé le festival avec un post-punk intransigeant et poétique, captivant le public avec des textes percutants et une énergie brute. Leur concert a été un best-of de leur carrière, mettant en lumière leur talent et leur intensité sur scène.