Contrat de 13M$ pour LiAngelo Ball avec Def Jam/Universal Music:

Contrat de 13M$ pour LiAngelo Ball avec Def Jam/Universal Music: rapport

LiAngelo Ball, qui aurait signé un accord massif avec Def Jam/UMG après le succès viral de ‘Tweaker’. Crédit photo : Graham Hodges

LiAngelo Ball signe un deal de 13 millions de dollars avec Def Jam après le succès de « Tweaker »

Le joueur de basket professionnel LiAngelo Ball (alias G3/G3 Gelo) aurait capitalisé sur son hit « Tweaker » en signant un accord de 13 millions de dollars avec Def Jam, selon un rapport d’ESPN et une confirmation directe de BeatStars à DMN, plateforme utilisée par Ball pour créer le morceau viral.

À en croire de nombreux fans, le morceau « Tweaker » de Ball, sorti en janvier, a accumulé des millions de streams sur YouTube, Spotify et ailleurs, notamment grâce à sa diffusion sur la chaîne YouTube de WorldstarHipHop. Ce succès a ouvert des opportunités de carrière significatives pour le natif d’Anaheim, son accord avec Def Jam/UMG incluant une garantie de 8 millions de dollars, selon ESPN et le label Born2Ball Music Group de Ball.

(Cela fait près de deux semaines que Ball n’a pas posté sur Instagram, et au moment de la rédaction de cet article, Def Jam ne l’avait pas encore ajouté à sa liste d’artistes.)

BeatStars confirme le deal de 13 millions de dollars de Ball et dévoile le processus créatif exact.

D’après BeatStars, Ball a trouvé et obtenu une licence pour le beat de « Tweaker », produit par Glockie Cheez et KUNICA, sur sa plateforme. Il a ensuite enregistré ses voix directement depuis son téléphone avec l’application DAW Voloco, partenaire de BeatStars, spécialisée dans les appareils mobiles.

BeatStars souligne que « le morceau complet a été publié en quelques jours, démontrant que de la musique de qualité professionnelle peut désormais être créée et partagée sans jamais mettre les pieds dans un studio traditionnel. »

La base entièrement licenciée de « Tweaker » est à noter face à l’expansion continue de l’IA générative. En d’autres termes, il ne faut pas beaucoup de compétences pour produire de la « musique » via des modèles d’intelligence artificielle.

BeatStars et des entreprises similaires pourraient donc introduire des changements dans le processus créatif sans abandonner l’artiste humain ni les paiements aux musiciens légitimes, malgré la prolifération de morceaux produits par IA sur les plateformes de streaming.

Le fondateur et PDG de BeatStars, Abe Batshon, met en avant le rôle de son entreprise dans « le futur de la création musicale ».

« C’est le futur de la création musicale », déclare-t-il. « Avec les bons outils, des artistes comme LiAngelo Ball brisent les barrières et prouvent que la créativité n’a pas de limites.

‘Tweaker’ n’est pas seulement un hit viral, c’est un symbole de l’émancipation que nous apportons aux créateurs du monde entier », conclut Batshon, dont la plateforme aurait versé plus de 350 millions de dollars à sa communauté de créateurs.

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