La passion de Rahim Redcar pour l’art et la musique
A chaque nouvel album, que ce soit sous le nom de Christine and the Queens, Chris, Redcar ou désormais Rahim Redcar, une idée centrale émerge : l’art est un moyen pour l’artiste de se réconcilier avec le monde qui l’entoure. Chaque chanson de Rahim Redcar semble être une réponse à ses tourments, une manière de progresser, d’exprimer ses émotions les plus sombres, de se connecter à quelque chose de plus grand que lui, de plus spirituel.
La capacité de Rahim Redcar à surprendre et convaincre
Avec le temps, il est devenu évident que l’art peut également servir à réconcilier le monde avec un artiste. Malgré les critiques haineuses, Rahim Redcar parvient à faire taire les mauvaises langues dès que l’on prête attention à ses albums, toujours uniques et jamais paresseux. Même s’il n’est pas parfait et parfois manque de clarté, on retrouve toujours cette pulsion créative chez Rahim Redcar, un goût pour l’excès et une recherche constante d’innovation.
La singularité de l’album « Hopecore »
De « Forgive 8888888 » à « Manuela Danse », les sept titres de l’album « Hopecore » confirment une musique entraînante, dansante et résolument rétro-futuriste. Rahim Redcar se veut prophétique dans sa démarche artistique, ne s’excusant pas de ses choix audacieux. L’album inclut notamment « Opera – I Understand », une épopée musicale maîtrisée et rythmée, témoignant d’une créativité sans limites.
La capacité de Rahim Redcar à se réinventer
Contrairement à d’autres artistes qui prennent leur temps pour produire un album marquant, Rahim Redcar se réinvente chaque année, surprenant et désorientant son public. « Hopecore » se distingue par son côté festif et club, mêlant techno et pop avec brio. Rahim Redcar, véritable performer, refuse la redite et ose des expérimentations vocales et musicales audacieuses.
« My heart is so open wide, oh, I can be that guy », chante-t-il, illustrant sa conviction que la vie est plus belle lorsqu’on ose l’inventer. L’album « Hopecore » est une ode à l’espoir sans limites, sorti le 27 septembre chez Because.